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Mieux comprendre le marché belge avec GBM (IoMe)

Comme l'indique Julien Saintes, dirigeant de IoMe, "la Belgique a beau être un petit territoire, ses spécificités culturelles ne doivent pas être sous-estimées." En effet, la concurrence y est importante et les spécificités varient nettement selon la région. Un marché complexe que connaît parfaitement notre associé GBM.

#Rachat

 

Julien Saintes (dirigeant) : « IoMe a racheté GBM il y a un an, afin d’élargir son offre de services en aménagement intérieur. Nous avons maintenant un “one stop shop” qui propose un ensemble de services à destination des professionnels de l’immobilier. »

 

#Philosophie

 

« Chez GBM, nous considérons que le produit est un prérequis ; c’est le service qui fait la différence. En effet, c’est souvent par le SAV que nous pouvons gagner en crédibilité, en étant réactifs, efficaces. Les clients sont demandeurs d’une entreprise forte et performante sur le marché. »

 

#Activité

 

« L’entreprise GBM est positionnée sur le marché de la collectivité et répond essentiellement à des offres de marchés publics : hôpitaux, crèches, administrations communales… La partie francophone de la Belgique compte 2 acteurs principaux. Le marché est plus disputé dans la Belgique néerlandophone. »

Vibrant street view of downtown Ghent, capital city of east Flanders province, Belgium along Leie river
Flowers on Grand Place, Grote Markt in Brussels, Belgium

#Périmètre 

 

« GBM intervient en Belgique. L’entreprise est très active dans le nord de la Belgique, c’est-à-dire la partie néerlandophone, historiquement grâce à monsieur Bortels, fondateur de GBM, et des équipes sur place. Nous avons un bureau en Wallonie et un en Flandre, des techniciens néerlandophones et d’autres francophones, pour assurer un maillage homogène. »

 

#Spécificités

 

« La Belgique a beau être un petit territoire, ses spécificités culturelles ne doivent pas être sous-estimées. C’est un marché difficile, souvent préconisé comme “marché test” pour éprouver la viabilité d’un produit ou service. En effet, elle compte trois langues nationales (français, néerlandais et allemand) et deux grandes zones, la Wallonie francophone et la Flandre néerlandophone. Dans cette dernière, plus riche, le niveau d’exigence est très élevé, et le mécanisme d’entrée sur le marché est long et complexe. En Wallonie, le prix va beaucoup jouer, de même que l’affinité du moment. Ces approches bien différentes nécessitent d’avoir des équipes commerciales dédiées. »

 

#EuroChef

 

« Globalement, nous partageons les problématiques de l’ensemble du Réseau. Nous sommes toutefois moins concernés par les questions tarifaires, puisqu’une partie de nos achats doit se faire hors Réseau ; il n’est pas rare que la Belgique dépende de la filiale allemande. »